mardi 8 décembre 2009

Présentant Shonni Enelow



La semaine dernière, Shonni Enelow, auteur de The New York Times Style Magazine, est passée par notre école. Shonni, la fille de notre professeur d'anglais bien-aimé, poursuit actuellement un doctorat à l'Université de Pennsylvanie, après avoir passé des années à NYU Tisch School of the Arts. Elle a décidé de faire un stop à Rennes au cours de son voyage le plus récent en France, un pays dans laquelle elle a passé quelques mois au cours du lycée. Elle a trouvé quelques instants de son précieux temps pour nous rattraper et parler de comment son expérience en France a façonné son style actuel.

Elle ne peut pas vivre sans: APC, Acne, Dries Van Noten, Vanessa Bruno, Whyred et 3.1 Phillip Lim. Pour les accessoires et vêtements de fête, elle préfère millésime.

Se décrivant comme: Jean Seberg répond minimalisme punk.

Pas un "neuneu" drame: «J'ai été étudiant à NYU Tisch School of the Arts, où je me suis spécialisé dans le théâtre. Je reçois actuellement un doctorat à Penn. " Modestes débuts: «J'ai toujours aimé se déguiser. Le lycée a été difficile parce que j'étais une « punk art » dans une mer de « preps ». Quand je suis arrivé à la Tisch, j'ai senti que je serais arrivé. Je portais des années 60 minidresses et go-go bottes en classe. J'ai été entouré par des artistes, et nous avons toutes sortes de inspiré de l'autre, esthétiquement. Je l'ai atténué beaucoup depuis, mais je suis toujours inspiré par la provocation louche de la Nouvelle Vague. "

Tous les chemins mènent à Paris: "J'ai passé trois mois en France comme étudiant en première année du secondaire, un autre mois comme une seconde année. Puis, entre le collège et école d'études supérieures, je suis retourné et a vécu à Paris. Je passe autant de temps là comme possible. J'aime parler français, je pense que le langage a une incidence énorme sur notre façon de penser et se comporter. vinaigrette française tend à être sous-estimé, que j'aime, et moins conformiste que la mode américaine (bien que New York est vraiment une exception!). J'ai aussi tendance à la mode française associer à mon très chic Patsy tante, qui vit à Paris. Elle est précise, mais elle sait toujours quand s'arrêter. Elle est aussi celui qui m'a emmené à l'origine de couper mes cheveux, quand j'avais 14 ans, je n'ai avait garçon court à peu près depuis ce temps.